L’assentiment des hommes l’avait mise hors de pair. Et nulle n’en était plus consciente qu’elle même. Elle éprouvait une sorte de mysticisme passionné du beau réprésenté dans sa personne. Sa pensée de toute heure et le meilleure de sa sensibilité s’étaient concentrés autour de cette idée: “Je suis belle”. (Frédéric Lolié. Les Femmes du Second Empire.)
Elle était la beauté féminine achevée que les années ont constamment perfectionnée, remplaçant par une affirmation du type ce qui disparaissait en charme indécis de jeunesse. (Marcel Prévost. L’automne d’une Femme.)
C’était fini! Elle retrouvait pourtant encore en elle ses attendrissements de jeune fille et ses élans passionnés de jeune femme. Rien n’avait vieilli que sa chair, sa miserable peau, cette étoffe des os, peu à peu fanée, rougée comme le drap sur le bois d’un meuble. La hantise de cette décadence était attachée à elle, devenue presque une souffrance physique. (Guy de Maupassant. Fort comme la Mort.)
....una torbida brama lo piegò verso quella donna sapiente e disperata in cui egli credeva scoprire i vestigi di tutte le voluttà e di tutti gli spasimi, verso quel corpo non più giovine ammollito da tutte le carezze e rimasto ancora sconosciuto per lui. (Gabriele D’annunzio. Il Fuoco.)